^xvj Histoire

13 . La Vie de François Richardot Eve^ue d'Jrras. Voyez le Journal

des Séances du' Tome IV, pages j-xiv.

14 . Voyage Littéraire fait dans Us Pays-Bas. On en trouvera des Extraits

dans la partie Hiftorique de ce Volume, voy. p. ггу & luivames.

г< . OhCervations fur la Notice des Gaules publiée par leVereSirrnond^ Ь fur une autre tirée des MSS. de l'Abbaie de St. Bertm. Voyez la partie Hiftorique de ce Volume , page 30. _

l'é . Obfervations Hißoriques & Bibliographiques fur la Notice des les tirées d'un Manufcritde l'Abbaie de St.Berttn , par Dom В. rédigées & mifes en ordre après fa mort par Mr. С Abbé Ghefquiere. Edes font imprimées dans la partie Hiftoiique de ce Volume , page 48.

17 . Acla S. Maximiliani £>• Mart. Cdecœ in Norico mediterraneo. _

18 . A3a S. Pantali aut Pantuli Rauracorum Epifc. Mart. Colonice Agrip-

pinœ .

19 . Aâa SS. Amici & Amelii.

■xo . Acla S. Venantii, Abbatis & Confefforis.

Notice de Mr. BOURNONS,

Mr . Rombaut BoUHNons^ né a Malînes, fut Officier du Corps de Génie de S. M. I. & R. & enfuite PrcfefTeur-Royal des Mathématiques au College Théréfien à Bruxçlles. Il fut élu Membre de TAcadémie le 14. tobre 1776, & mourut, après une très-longue maladie, le 22 Mais 1788, Les produftions de la plume de ce favant Mathématicien, font : ^

i . ^ Phafes de VÈclipfe annulaire da Soleil du premier Avril 1764 , ^culées fur le Zenith de Bruxelles. Elles font refiées manufcrites.

г . * ' Mémoire contenant la formation d'une Formule générale pour Vin- té^ration ou la fommation d'une fuite de Puijfances quelconques, dont les Racines forment une Progrejßon Arithmétique à differences finies quelconques^ Il eft imprimé dans le premier Volume de TAcadémie, page 32?.

3 . ^ Élémens de Mathématiques à Vufage des Colleges des Pays-Bas. Premiere partie -, contenant les Principes du calcul en nombres entiers. A Bruxelles 178^, en tout 280 pages in-8.

4 . 0 Mémoire fur le calcul des Probabilités: lu dans la Séance du 6 cembre 1783.

^ . ^ Mémoire contenant un Problème qui prouve l'abus de commencer VÉtude des Mathématiques par VAlgèbre ; avec la Jolution d'un nouveau Problême déduit de ce premier: lu dans la Séance du 6 Février 1785.

6 . ^ Mémoire pour prouver que la méthode des Limites ji efl ni plus m- dente y ni plus rigoureufe, que celle du calcul des Infinis , traitée félon Leibniti'^ lu le 8 Avril^ I78'5.

Ces trois dernières pieces auroîent dû entrer dans ce Volume ; mais on n'a pas pu hs retrouver après la mort de l'Auteur.