composantes A^, Les expressions (12, 15) sont invariantes par
rapport à chaque transformation affine non dégénérée des vecteurs Y^, c'est-à-dire les coefficients a* ne dépendent pas du choix des
i
vecteurs Y^ (de i,»). Pour le faire voir, posons: ♦
= w—1
Y<^ =y, Q^ 7^ où Dét. I p» I Ф 0,
и
et désignons par cr* les valeurs définies par les relations:
m—1 и m—1 к
Si l'on désigne par A^ les composantes de A^ par rapport au repère Y, on peut écrire:
к
m—1 __ m—1 -_ m—1 m—1
d'où
m—1 _-
A^= 2rQ'Ar,
% Q r i
En résolvant ces équations on trouve:
—_ m—1 и и
A " * = Vj^ au ^*, Dét. 1 (Tjfe I Ф 0. (12, 16)
i V *
L'équation (12, 15) écrite pour la valeur transformée a^—j nous donne à l'aide de (12, 16), (12, 9a) et (12, 15):
аш - ^== - - - - - - - - - î - = - Dét . |ZoIo...loD3o 3o_ .J[o| =
Dét . \A^\ * 0 1 ;—1 m—1 ;+l m—1
%
= - - - - - - - - - - s—^ - - - - - - - - - - - - • »et. I âtl.
Dét . \аь\ . Dét. 1 A<^ \
i
. Dét. I ^о^<*. . . ^0 D ^0 ^0 _ ^0 I ,=, an,^. G. Q. F. D.
0 1 ;—1 «1—1И1 ш~\
Les équations (12, 5), (12, 6) et (12, 9) correspondent aux relations (6, 5), (5, 11) et (5, 4) resp. (5, 9) écrites pour m = Ж + 1, ceUes-ci ont été le point de départ des recherches aux graphes 6—11. On peut donc appliquer les méthodes utilisées dans ces paragraphes à l'étude A^ en Lm et déduire les théorèmes
к
analogues pour m général, aux théorèmes dessus cités pour m = = iV^ + L En voici les plus importants:
00